La prison du XIXe siècle – première partie
Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
Les origines du personnel de surveillance de l’Administration pénitentiaire – diaporama
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
La formation des personnels de surveillance de l’Administration pénitentiaire – quatrième époque- diaporama
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
La formation des personnels de surveillance de l’Administration pénitentiaire – troisième époque – diaporama.
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
La formation des personnels de surveillance de l’Administration pénitentiaire – deuxième époque – diaporama
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
laformationdespersonnelsdesurveillance1.pdf
La formation des personnels de surveillance de l’Administration pénitentiaire – première époque – diaporama.
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
regardssurlaformationdespersonnels.pdf
» 1927 est une année capitale dans l’histoire de l’Administration pénitentiaire pour au moins deux raisons : cette année-là furent fermées pas moins de 216 maisons d’arrêt (on n’en conserva que 154 sur 370) cependant que dans les maisons centrales prenait fin le dernier contrat d’entreprise générale. C’est dans la foulée que l’Ecole pénitentiaire supérieure de Fresnes ouvrit ses portes, par arrêtés des 26 juillet et 24 août. Elle avait pour ambition de « compléter l’instruction générale (…) parfaire la formation technique du personnel gradé des services pénitentiaires ». Elle était réservée non plus aux surveillants ordinaires, mais aux premiers surveillants et surveillants commis-greffiers « désirant concourir pour l’emploi de surveillant-chef », qui étaient admis à l’Ecole supérieure sur concours. Il n’y avait plus qu’une seule promotion par an (du 1er novembre au 1er mai), chaque session comportait 700 heures d’enseignement sur six mois, les matières étaient les mêmes que celles retenues en 1893, par contre une place importante était faite aux « travaux pratiques », qui avaient lieu le matin dans les services du greffe et de l’économat de Fresnes ainsi qu’au Service de l’anthropométrie judiciaire de Paris. Les élèves étaient internes (ils étaient logés dans le pavillon d’isolement de l’infirmerie générale) ; placés sous l’autorité du directeur de Fresnes, ils participaient en surnombre au service de nuit de l’établissement. Des conférences portant sur la « science pénitentiaire » étaient organisées en-dehors des cours, un concours était prévu à l’issue du stage, dont le classement tenait lieu de tableau d’avancement. L’Ecole de Fresnes devait cesser d’exister en mai 1934, dès lors que les surveillants-chefs étaient devenus en nombre suffisant… »
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
dugardechiourmeausurveillantmilitairedubagnecoloni1.pdf
» Descendants des célèbres gardes chiourmes des bagnes maritimes, une mauvaise réputation leur colle à l’uniforme, alors qu’on peut imaginer qu’il y avait parmi eux la même proportion de bons ou de mauvais que dans toute autre administration ou corps militaire.
La célèbre formule de NAPOLEON III répondant, quand on lui demandait par qui il ferait garder les bandits dans les bagnes d’outre-mer : « par plus bandits qu’eux… » y est sûrement aussi pour une certaine part.
Loin du système manichéen souhaité par le législateur dès la loi sur la transportation du 30 mai 1854 expédiant des milliers de forçats hors de France, le bagne colonial imbrique étroitement deux catégories d’individus condamnés à vivre ensemble, les surveillants et les bagnards. Leurs relations sont complexes : « Gaffes » et « fagots » sont unis pour le meilleur et pour le pire… »
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
ladisciplinedanslesprisonsalgriennesen1945.pdf
» En 1945, dans les prisons algériennes la discipline ne peut pas être envisagée de la même manière que dans les prisons métropolitaines. La conception policière domine dans les établissements pénitentiaires de la colonie.
Cette dernière s’accompagne d’un nombre d’agents restreint insuffisamment nombreux pour assurer seuls la discipline des prisons. Les surveillants sont assistés de « prévôts ». Il s’agit d’un système généralisé en Algérie en 1948, et qui ne disparaît en métropole qu’à la fin des années 1950. Le prévôt de salle est un détenu souvent de droit commun, chargé par l’administration de faire respecter l’ordre dans son dortoir ou son quartier, généralement par la force. Décrit par Henri ALLEG en 1957, le prévôt est le plus souvent « un véritable tyranneau qui a lui aussi « ses » mouchards, qui injurie, brutalise, frappe, exige d’être servi, perçoit la dîme sur tout achat de cantine »[1]. Sur le principe, l’utilisation du prévôt est réprouvée mais l’Administration pénitentiaire maintient le système pour des raisons d’efficacité permettant une discipline parfaite… »
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
lestablissementspnitentiairesenalgrieen1945.pdf
La nomenclature des prisons algériennes nous est surtout connue au tableau des établissements pénitentiaires dressé par Jean PINATEL à l’issue de sa tournée d’inspection de 1948. Elle est pour une part semblable à celle qui prévaut en métropole (maisons centrales, maison d’arrêt), et pour l’autre part propre à l’Algérie (prisons annexes, geôles municipales, chambre de sûreté). Les prisons militaires, cédées à l’Algérie en 1950, sont envisagées à part.
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