Posté par philippepoisson le 31 octobre 2008
Repères sur l’histoire de l’Institution Pénitentiaire.
« De la Troisième République à l’an 2000 »
COURS 2 : 1939-2000
repressurlhistoiredelinstitutionpnitentiaire2.pdf
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Posté par philippepoisson le 31 octobre 2008
Repères sur l’histoire de l’Institution Pénitentiaire
« De la Troisième République à l’an 2000 »
COURS 1 : 1870-1939.
repressurlhistoiredelinstitutionpnitentiaire.pdf
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Posté par philippepoisson le 31 octobre 2008
Document à usage pédagogique réalisé par Philippe POISSON
Source : Extraits du Mémoire de maîtrise d’histoire contemporaine de Clémence GUINCHARD, Les Services Pénitentiaires Algériens et leur fonctionnement (1945-1954),
sous la direction de monsieur Daniel LEFEUVRE, Université Paris 8, Vincennes Saint-Denis UFR, Département D’Histoire, 2003-2004, p. 35-40.
historiquedelapenalgrie.pdf
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
» Maisons de force, prisons d’Etat : « Il n’y eut, jusqu’à la seconde moitié du XVIIIe siècle, de maisons de force que les prisons d’État : ces forteresses militaires assuraient la défense de la nation (sur les frontières) ou de la ville (la Bastille et Vincennes à Paris) contre l’ennemi extérieur, mais aussi contre l’ennemi intérieur (espions, traîtres, prisonniers politiques et prisonniers d’opinion) qui y était enfermé par lettre de cachet. À partir du règne de Louis XIV, les maisons de force se multiplièrent, beaucoup d’entre elles étant gérées par un ordre religieux. Elles accueillaient, moyennant un prix de pension versé par la famille ou l’État, les délinquants objets d’une lettre de cachet ou d’une mesure de correction paternelle, mais aussi les fous, les défigurés, et bien d’autres catégories de misère. » »
lesmaisonsdeforceprisonsdetat.pdf
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
» Façade d’arrivée précédée de la cour d’honneur, alors plantée d’arbres, et du pavillon de la conciergerie construit par l’architecte départemental Poitevin ; photo Vergeron, fin du XIXe siècle (Bordeaux, DRAC Aquitaine). »
maisoncentraledecadillac.pdf
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
» Le capuchon d’étamine de laine est porté par les détenus soumis à la règle de l’emprisonnement cellulaire individuel dans les maisons d’arrêt, en application de la loi de 1875. Le port du capuchon fut aboli en octobre 1950. »
capuchontransparent.pdf
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
« Cages à poules » installées dans les combles au temps de l’école de préservation pour jeunes filles à Cadillac-Collection. Collection « Itinéraires du patrimoine », Le Château de Cadillac, juin 1999, page 42.
cagespoulescadillaclecoledeprservation.pdf
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
» La maison d’arrêt en tant que telle fait figure d’institution relativement récente. D’ailleurs, si l’on s’attache aux mots, nous constatons que le terme n’apparaît pas avant la Révolution de 1789. Cependant, durant le Moyen Âge et l’Ancien Régime, ce que les spécialistes appellent communément la « prison » remplit partiellement la même finalité qu’une maison d’arrêt contemporaine.
Des criminels, sont logés dans l’attente d’un jugement puis d’un châtiment corporel exemplaire, placés en situation de détention préventive dans des établissements trop souvent insalubres où règnent les excès … »
motsetpetitsmaux.pdf
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Posté par philippepoisson le 30 octobre 2008
» … Les lettres de cachet sont des manifestations discrètes et personnalisées de l’autorité royale, par opposition aux lettres « patentes », actes souverains publics et solennels. Les lettres de cachet sont des lettres fermées, signées par le Roi, souscrites par un secrétaire d’État qui est presque toujours celui de la maison du Roi. Elles sont utilisées à des fins particulières, pour convoquer un corps judiciaire, pour ordonner une cérémonie mais, le plus souvent, elles contiennent un ordre individuel d’exil, d’emprisonnement ou d’internement. Il s’agit en fait d’une mesure arbitraire, puisque manifestation de la justice personnelle du souverain, prise en général après enquête et délibération en Conseil. Cette institution permet d’arrêter rapidement un suspect, de réprimer un délit de presse et surtout de mettre à l’écart un fils de famille indigne, débauché, prodigue ou en danger. La lettre de cachet est ainsi plus comme un privilège pénal qui s’ajoute à la liste des privilèges de noblesse : elle permet au gentilhomme délinquant d’échapper à l’infamie des prisons ordinaires et même à la rigueur du droit commun… »
leslettresdecachet.pdf
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